Pendant les premières années de la guerre, le bluff en est à ses débuts : décryptage de codes, espions glamours, faux sites de bombardement et même chars d'assaut gonflables.

En 1942, la duperie devient extrêmement sophistiquée. Des usines d'armement américaines entières sont déguisées en villes, des agents doubles manipulent l'ennemi, mais l'opération la plus rusée consiste à utiliser un sans-abri décédé pour tromper l'ensemble des dirigeants nazis à propos de l'invasion de la Normandie.

La technologie est utilisée pour tromper l'ennemi. La radio et les émetteurs diffusent de fausses informations. Une armée fantôme trompe l'ensemble des forces ennemies à l'aide d'effets sonores.

Alors que la guerre penche clairement du côté des Alliés, les deux camps utilisent encore des subterfuges pour piéger l'autre. Dans l'après-guerre, les États-Unis et l'Union soviétique commencent un jeu d'espionnage mortel dans la course à la suprématie atomique.