La première partie examine le statut des trésors culturels prélevés dans leur pays d'origine à l'époque coloniale. Les voix réclamant le rapatriement se font plus fortes. Les directeurs de musée expliquent pourquoi leur institution est le propriétaire légitime et le gardien de certains objets. Les militants culturels qui demandent le rapatriement expliquent la nécessité de garder leur patrimoine culturel dans un lieu accessible dans le pays d'origine. Néfertiti est à Berlin, Les Marbres du Parthénon sont à Londres, La Pierre de Rosette est à Paris et bien d'autres pièces historiques inestimables dans de nombreuses autres capitales de l'Occident, autant d'objets de maison qui sont au centre d'une discussion animée. Les questions juridiques et éthiques dans un bras de fer rendent ce débat au mieux obscur. Cependant, il existe des exemples de cas où une solution mutuellement avantageuse a été trouvée.
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