En juillet 1962, Christine Beauval, une speakerine vedette du petit écran, doit abandonner son projet de magazine télévisé sur les femmes : son mari Pierre se voit confier par le ministre de l'Information Eric Jauffret l'opération Mondovision.

Après la découverte du mannequin ensanglanté à son effigie dans les studios, Christine est effondrée. Interrogée par l'inspecteur Rubereau, Colette nie savoir où Marilou a passé la soirée et cherche du réconfort auprès d'Eric, qui lui demande de récupérer les photos compromettantes de la soirée à Saint-Cloud.

Christine et Philippe sont arrêtés pour le meurtre de Marcel. Au bout de quelques heures, le suicide de Marcel Lindet étant avéré, le commissaire Jarrel relâche Christine tout en demandant insidieusement à Pierre de mieux surveiller sa femme. Darnet profite du retard de Christine pour la menacer de renvoi et lui annonce que c'est désormais Isabelle, plus jeune et plus fraîche, qui effectuera une partie de ses annonces.

Christine, furieuse, traverse les couloirs de la RTF à la recherche de Darnet. Elle vient de lire son télégramme et d'apprendre qu'elle a été licenciée. Son mari Pierre et son ami Eric étaient au courant et aucun n'a cherché à la sauver, au contraire : tous semblent vouloir se débarrasser d'elle.

Pierre Beauval et Philippe Lefebvre réalisent que Christine était avec Jauffret sur le lieu de l'attentat. Jauffret a été tué et Christine reste introuvable. Pierre et Philippe font front commun pour essayer de la localiser, mais leurs recherches restent vaines. Jean-Claude, qui a failli faire échouer l'attentat, est condamné à mort par l'OAS.

Les Beauval sont très inquiets de la disparition de leur fille, persuadés qu'elle a fugué, mais Pierre doit partir en Bretagne pour préparer la Mondovision. Christine cherche Colette en vain. L'inspecteur Rubereau, qui a alerté Christine et Philippe de l'enquête bâclée sur le jeune Mohammed, affronte sa hiérarchie et menace de faire éclater le scandale.