Un garçon né roturier se réincarne en Lloyd, septième prince du royaume de Saloum, en ayant gardé tous ses souvenirs. Il décide de profiter de sa nouvelle vie pour maîtriser la magie.

Lloyd continue de s'entraîner à la magie, mais comme il doit cacher ses pouvoirs, quelques situations cocasses se produisent.

Maintenant que la liche a été libérée, le donjon est devenu bien plus dangereux que prévu. Malgré sa maîtrise du qi, Tao a bien du mal à lutter, mais elle éloigne quand même son compagnon du danger.

Albert est en route vers un lac où seraient apparus des monstres, en compagnie de sa garde ainsi que de Lloyd et sa préceptrice. Sur place, ils se rendent vite compte que le danger est bien réel.

Sylpha et ses alliés ont beau être très puissants, Pazuzu a plus d'un tour dans son sac, et son miasme vient à bout de presque tout le monde sur le champ de bataille, mais Lloyd n'a pas encore dit son dernier mot.

Lloyd essaie de dresser Shiro, mais comme il n'y arrive pas, il va devoir aller demander conseil à une de ses sœurs qui est spécialisée dans ce domaine. Il va aussi retrouver un de ses frères qui a besoin de ses pouvoirs.

Lloyd affronte Ren, qui avait tenté de dissimuler sa présence, et découvre de nouvelles façons de manipuler le mana, ce qui l'enthousiasme au point de manquer de prudence.

Les membres de la guilde des assassins reçoivent enfin des nouvelles de leur chef, et ils se dirigent vers son point de rendez-vous en compagnie de Lloyd.

Lloyd sauve ses amis in extremis, mais le combat contre son adversaire s'annonce compliqué, vu son niveau et sa maîtrise exceptionnelle du mana et des pouvoirs des autres.

Sylpha et les héritiers de Saloum arrivent à la rescousse de Lloyd, mais comme ce dernier est occupé avec son adversaire, ils tentent d'abord de s'attaquer à la guilde des assassins.

Le combat se poursuit entre Lloyd et Guisarme, et chaque adversaire rivalise d'ingéniosité pour surpasser l'autre.

Le combat entre Lloyd et Guisarme bat son plein, et le démon joue son dernier atout pour se débarrasser de son adversaire qui n'a pas l'air plus effrayé que ça.