A travers la résurrection des scènes technos, SUNK exprime sa fascination pour la culture chinoise traditionnelle. En quête d'organiser son premier concert, elle se renseigne sur la situation des clubs de Pékin auprès de la musicienne avant-gardiste tamiX. À Taipei, Elvis. T retrouve une scène techno en plein renouvellement, notamment grâce à Sonia Calico, une artiste connue aussi bien à Taïwan qu'en Chine.

Pour élargir ses connaissances, SUNK est reçue par Youdai, le légendaire DJ qui a initié des générations de jeunes Chinois au rock et à la techno. Ils retracent ensemble l’histoire des raves, dont la mythique première rave sur la Grande Muraille. Malgré le manque de considération globale envers la profession de DJ, Elvis. T découvre une nouvelle génération d’artistes taïwanais et l’évolution des mentalités.

À Taipei, Elvis T. part à la recherche de ses racines avec le fameux compositeur Lim Giong. Grâce à sa volonté de reconnexion avec son pays natal, il découvre un visage inattendu de l'identité taïwanaise, Dungi Sapor et sa techno aborigène. À Pékin, SUNK visite le DADA Bar et l'Aurora, deux clubs qui incarnent la résilience de la scène. De son côté tamiX efflore son rêve de jouer à l’étranger à travers le témoignage d’artistes chinois qui s’exportent, comme son ami Lu Ming, musicien et bédéiste mongol.

Après une longue préparation, SUNK organise le premier concert de sa carrière. De son côté, tamiX partage l’organisation de son premier voyage à l’étranger depuis la pandémie avec le groupe punk PizzaFace. Entre Pékin et Taipei, Elvis. T organise la soirée de lancement de son nouveau label.