Homme d'affaires le jour, Bruce Wayne devient Batman la nuit pour protéger Gotham City avec sa Batmobile. Avec l'aide de Robin et Batgirl il affronte de nombreux criminels légendaires.

Les aventures de l'oncle Picsou et de ses trois neveux Riri, Fifi et Loulou. Lorsqu'ils ne sont pas en quête d'un trésor, les neveux de Donald sont à Canardville, entourés de Zaza, Mamie Baba et Flagada Jones et affrontent avec ruse les ennemis de leur oncle.

Afin d'enrichir son expérience de la vie et d'approcher certaines réalités concrètes, une ravissante jeune femme, médecin, décide de devenir chauffeur de taxi. Lors de sa première course, au terme d'une conduite extrêmement sportive, où les termes de chauffeur et de chauffard deviennent synonymes, son client se retrouve à l'hôpital ayant succombé aux émotions provoquées par un jimkana éblouissant à travers le dédale des rues romaines.

L'inspecteur Paumier, chef de la brigade des maléfices, est chargé à la préfecture de police de Paris, d'enquêter sur les affaires les plus insolites que la science policière échoue à résoudre. À bord de son side-car jaune et rouge, piloté par Albert son fidèle second, l'inspecteur Paumier poursuit les malfaiteurs les plus inattendus : vampires, fées, fantômes et même une incarnation du diable.

Des pilleurs de tombes réveillent par erreur un terrible démon des ruines de Babylone. Ce dernier vole alors vers le Japon où il prend l´apparence d´un haut magistrat, multipliant les actes de vampirisation. Pour tenter d´arrêter le mal, la petite fille du fonctionnaire et un jeune paysan font appel à des Yokais, des fantômes pacifistes mais terrifiants.

Un gangster kidnappé (Vittorio De Sica) réussit à convaincre ses ravisseurs pour l'aider à voler des lingots de platine d'un train.

Ce feuilleton raconte la construction des lignes de chemin de fer au xixe siècle en France entre Clermont-Ferrand et Nîmes, l'opposition d'un colonel d'empire, Vidal, qui se ruine en voulant concurrencer le rail par la diligence, ainsi que l'opposition des bateliers.

Une jeune paysanne prénommée Brigida se fait violemment agresser par un nocturne vampire, en allant chercher de l'eau près d'une cascade proche de la ferme parentale. De plus en plus fréquente dans la région, surtout en période de pleine lune, les faits divers ne semblent guère déranger les pensionnaires de la spacieuse villa de Crescenzio, une troupe de danseuses dirigées par l'imposant chorégraphe Giorgio. Deux jeunes filles de la petite communauté, Luisa, Francesca et le fiancé de cette dernière, un certain Luca, pénètrent, pour se protéger des intempéries, dans un château qu'ils croyaient abandonné depuis des années et y font connaissance avec la comtesse Alda et son supposé domestique, Herman, en fait deux authentiques vampires...

Sous-marin commandant Ken White est obligé de plonger tout à coup, laissant son capitaine et un autre membre d'équipage à mourir en dehors de la sous pendant la Seconde Guerre mondiale. Les années suivantes de missions au sol de la marine sans signification et l'animosité d'un ancien marin, quitter White (maintenant capitaine) se sentir coupable et vide. Sa vie en spirale vers le bas et sa femme est sur le point de le quitter. Tout à coup, il est forcé dans une situation de sauvetage dangereux au début de la guerre Koren .... réaffectés au même sous-marin où tous ses problèmes ont commencé.

Trois jeunes filles tentent d'aider leur mère veuve trouver le mari droit.

Le film de Jean Renoir est à la fois empreint de légèreté et profondément pessimiste, comme un mélancolique et prophétique jeu de massacre que l'amour et l'amitié sont impuissants à enrayer. S'appuyant sur la longue tradition théâtrale française et la comédie de mœurs, grâce aux meilleurs acteurs de son temps (Dalio, Carette ou Paulette Dubost en tête, sans oublier sa propre prestation pleine de tendresse), le cinéaste jette un regard caustique sur la bourgeoisie et la société française. Œuvre complexe, à plusieurs niveaux de lecture, où se mêlent farce, romance, drame et tragédie, La règle du jeu déconcerte et révolte les spectateurs de l'époque. La presse de droite ne manque pas d'attaquer le cinéaste, cible de choix pour son engagement résolu en faveur du Front populaire. Jugé "démoralisant", le film sera même interdit par le gouvernement peu après l'entrée en guerre.